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Le recensement agricole est ouvert dans le canton de Fribourg et s’achèvera le 25 février 2020
07.02.2020 – Les exploitants agricoles, ainsi que tous les détenteurs de bovins, chevaux, porcs, ovins, caprins, daims, cerfs rouges, lamas, alpagas, volaille et abeilles sont tenus de mettre à jour leurs données, de même que les pisciculteurs professionnels. Les enregistrements doivent être saisis via internet dans le système informatique GELAN.
(AGIR/SP) - Dans le canton de Fribourg, le recensement des données agricoles se fait sous la houlette du Service de l’agriculture. Tous les exploitants agricoles qui souhaitent bénéficier de paiements directs, ainsi que tous les détenteurs d’animaux doivent enregistrer leurs données annuellement. Les animaux à onglons, équidés, abeilles et la volaille détenus à titre de hobby ou en tant qu’animaux de compagnie sont également soumis au recensement. Le jour de référence est le 31 janvier 2020. Le recensement a été fixé durant la période hivernale du 7 février au 25 février 2020. Pour la première fois cette année, précise le communiqué de ce jour du Service de l’agriculture du Canton, agriculteurs et les détenteurs d’animaux concernés recevront les informations concernant l’ouverture du recensement uniquement par courrier électronique. Il n’y a plus d’envoi postal.
Depuis 2012, ce recensement est exécuté via internet avec le système informatique GELAN, commun aux cantons de Berne, Fribourg et Soleure. Il est accessible par le portail de la Confédération AGATE. Les données agricoles telles que les surfaces et les cultures y sont cartographiées. Le nombre d’animaux détenus au 1er janvier 2020 ainsi que la moyenne des animaux détenus durant l’année écoulée doivent être annoncés. Les effectifs des bovins et ceux des équidés proviennent de la banque de données sur le trafic des animaux BDTA.
Calcul des contributions annuelles et sécurité vétérinaire
L’objectif de ce recensement est de permettre le calcul des contributions annuelles, de recenser les animaux qui doivent être assurés contre le risque des épizooties auprès de l’Etablissement d’assurance des animaux de rente, Sanima et de lutter plus efficacement contre les maladies animales. Les autorités compétentes doivent en effet savoir quels animaux sont gardés dans quel lieu de détention.
Auteur : AGIR/SP