href="file:///C:DOCUME~1wlaagi00LOCALS~1Tempmsohtml1�1clip_filelist.xml« Je

suis très contente des nouvelles adhésions que vous venez d’accepter. C’est

seulement dans une branche forte et unie que vous pourrez assurer l’information

et la promotion nécessaires à vos excellents produits ». La présidente de la Confédération, Doris

Leuthard, présente à l’issue de la partie statutaire, a rappelé que le soutien

confédéral n’est possible que pour une organisation commune à la profession.

Répondant à une question des délégués, elle a énuméré les avantages de rejoindre

l’ALEA : « Un marché potentiel de 500 millions de consommateurs et des

possibilités d’abaisser les coûts de production ». Se rendant compte de la

faiblesse de l’argumentaire, elle a aussitôt souligné l’importance de ne rien

précipiter, de bien prévoir les mesures d’accompagnement et d’étudier au mieux

les possibilités de lever les obstacles techniques en viticulture.

Les

démarches avec le Groupe des organisations viticoles valaisannes (GOV) ayant

débuté en été l’an passé, le projet de rapatrier l’organisation nationale avait

pu mûrir dans nombre de débat avec le comité. Il a fait l’objet d’une double

demande, l’une concernant les statuts et l’autre touchant aux contributions.

Pour cette raison quelques points des statuts ont été révisés, notamment

concernant la qualité de membre. Désormais, peuvent être membre des associations

des collèges ou des familles de producteurs. Les rénovations statutaires ont

été acceptées à l’unanimité.

Un

autre article traitant de la décision sur les AOC a aussi passé la rampe sans

sourcillement. Madame la présidente de la Confédération a par

ailleurs suggéré que, dans le domaine viticole également les AOC soient en

mains des praticiens.

En

ce qui concerne la branche suisse alémanique représentée par le Branchenverband

Deutschschweizer Wein (BDW), il s’est agit quasiment d’une formalité dans la mesure

où il participait déjà depuis longtemps comme invité permanent.

Les

mots « consolidation », « réactivation »,

« renforcement », « synergie » qui apparaissent au long du

programme d’activités 2010, accepté lui aussi, n’ont jamais si bien résonné.