href="file:///C:DOCUME~1wlaagi00LOCALS~1Tempmsohtml11clip_filelist.xml« Nous regrettons l’absence de l’Office

fédéral de l’agriculture ; ce d’autant que sans l’OFAG nous n’aurions pu

exister ». Le président Jacques-Alphonse Orsat a ajouté qu’un contact avec

les agronomes fédéraux est urgent pour éclaircir l’avenir. Soumis à une vive

critique de certains milieux politiques qui voient d’un mauvais œil l’appui de

la manne fédérale aux vignerons, SWP doit améliorer sa relation avec l’office

considéré. « Si l’entente ne peut se concrétiser, on devra se réorienter

sur une régionalisation de la promotion », a précisé le président.

Faire découvrir la nouvelle

identité et la nouvelle image et l’identité des vins suisses aux Suisses !

L’axe numéro un de la stratégie de SWP est ainsi défini. La gestion a été

mandatée à Swiss Cheese Marketing et le financement en incombe aux différents

offices cantonaux de promotion . La somme investie est doublée par l’aide

fédérale fournie par l’OFAG. Pour 2008, les budgets à disposition se sont

montés à Fr. 50.- l’hectare de vigne. « Si l’on veut conserver ou

améliorer ce budget, il faudrait mettre les frais administratifs en sus »,

a proposé le mandataire David Escher. Les membres présents ont approuvé. Tout

comme ils ont avalisé une modification des statuts autorisant le déplacement du

siège de l’association chez le mandataire. Deux messages qui prouvent avec

clarté toute la satisfaction et la confiance mises en la personne de David

Escher.

Le positionnement de la viticulture suisse repose sur la tradition et l’image.

L’image offerte par le paysage et l’environnement préservés, porteurs

d’émotion. Mais la swissness, c’est

aussi la qualité, la fiabilité, la solidité… La tradition se retrouve notamment

dans les cépages autochtones et le savoir-faire du vigneron. Nantis de ces

éléments, les projets 2008 de SWP ont englobé la foire Prowein de Düsseldorf

(D), la Gourmesse

au Kongresshaus de Zurich, l’Ecole du vin et des sommeliers d’Allemagne, une

soirée de dégustation au Palace Meurice de Paris, des actions communes avec

SCM, des publireportages… On tente d’évaluer les retombées de ces actions. Une

enquête MIS-Trend est en cours d’étude. Même si le président ne cache pas une

certaine déception quant à la fréquentation de certaines manifestations, il n’y

a pas l’ombre d’un découragement. Il semble même ce soit l’inverse.