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Un coup de lifting au Bourgeon
Les principes fondamentaux sont exposés autour du logo
Bourgeon en suivant une flèche tournant dans le sens inverse des aiguilles
d’une montre. Les fondements proposés vont du « Nous utilisons des
produits naturels » à « Nous assumons notre responsabilité sociale
envers les employés » en passant par « Nous utilisons
parcimonieusement l’énergie et l’eau » et « Nous nous engageons pour
que tous les producteurs aient des prix équitables ». Ils se déclinent en
trois facettes nommées vision, valeurs, organisation.
Ce que les bios
veulent (visions)
« La Suisse, Pays Bio est centrée sur une
agriculture globale, viable de génération en génération et qui produit des denrée
authentiques et saines qui offrent saveurs et plaisirs aux
consommateurs ». Le concept directeur ajoute les buts concernant la marque – le Bourgeon comme marque
agrobiologique forte – la motivation– clients, partenaires et collaborateurs convaincus par la « Vision »
- la croissance – grâce à des
produits Bourgeon crédibles – la production– commercialisée en harmonie avec la nature et la société – les produits – avec des garanties claires.
Comment les bios
travaillent (valeurs)
Le nouveau concept précise la volonté d’approche holistique,
les exigences éthiques, le dessein démocratique de diriger Bio Suisse, la
détermination à rester créatif en cherchant l’amélioration, le progrès et le
développement de l’agriculture biologique. Les mots rattachés à ces valeurs se
nomment crédibilité, authenticité, équité, diversité, solidarité, joie de vivre
et défis.
Ce que les bios sont
(organisation)
Bio Suisse est la fédération des producteurs Bourgeon
suisses et propriétaires de cette marque. On précise aussi que Bio Suisse
organise et pilote le développement du Bourgeon et de l’agriculture biologique
en Suisse.
Outre quelques discussions mineures, d’ordre sémantique
(voire de traduction), les délégués ont étés conquis par les propositions du
comité et le fruit d’un travail de deux ans a été avalisé à l’unanimité. La
présidente Régina Fuhrer, visiblement soulagée, a remercié les protagonistes de
cette brillante rénovation.
Les délégués se sont prononcés pour une amélioration
financière du secteur promotion de la vente directe. Ils ont aussi pu
manifester leurs soucis concernant le prix du lait bio qui s’écarte toujours
plus des coûts de production.